Crash navigue à travers l’espace, semant littéralement le bordel sur son passage en couchant avec tous les hommes appétissants qu’il croise : prince, clones et extraterrestres de toutes sortes.
En compagnie de son robot-vaisseau spatial Rockstar, il découvre qu’un despote a pris le contrôle du palais des plaisirs, Midnight Cowboy, situé sur une planète dédié aux amours masculines.
Sundance, l’ancien propriétaire, est réduit en esclavage et il n’en tiendra qu’à Crash et Rockstar de mettre fin au joug de Saint, l’usurpateur qui a pris possession des lieux.
Prémisse amusante même si le tout est relativement prévisible et manque d’une certaine fluidité au niveau de l’intrigue. L’arrière-plan visuel est également souvent réduit à sa plus simple expression et le dessinateur aurait tout intérêt à corriger cet aspect.
L’ensemble est cependant sympathique et une suite se dessine à l’horizon.
Crash Course / Johnny Murdoc & TJ Wood. Coquitlam, Colombie-Britannique : Class Comics, 2010. 28p.