Jeudi, 28 mars 2024
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    My Best Man

    Harry est héritier de la grande fortune Ford. Mais voilà, lorsque son paternel a eu vent de l’homosexualité de sa progéniture, il inscrivit un codicille dans son testament à l’effet qu’Harry n’héritera que s’il se marie en bonne et due forme.

    Et voilà que la date limite pour respecter la condition, son prochain anniversaire, arrive à grand pas. C’est alors qu’Harry — agent de bord de son état — rencontre Amity Stone, une hôtesse de l’air particulièrement débridée avec qui il se lie rapidement d’amitié.

    Les deux compères complotent sur le champ de se marier pour éviter de se retrouver dans la dèche financière la plus totale. Mais parallèlement aux préparatifs du mariage, Harry fait la rencontre de Nicolo dont il tombe éperdument amoureux et fait également face aux intrigues de son frère qui cherche à contrecarrer cette cérémonie qui lui ferait perdre la moitié du magot familial.

    Un roman amusant malgré une prémisse d’une grande absurdité. On peut douter que, même au Texas, une telle condition testamentaire soit considérée valide. Mais enfin, il s’agit après tout d’une lecture d’été et non d’un ouvrage de doctrine en droit des successions.

    Rigolo donc, malgré une conclusion où l’on retrouve une telle abondance de clichés que l’on manque bientôt de mains pour les compter.

    My Best Man / Andy Schell. New York : Kensington Books, 2000. 338p.

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