Offrir un accompagnement complet à la clientèle

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Jonathan Dion, représentant hypothécaire Desjardins

Vous désirez acheter une propriété, que ce soit une maison ou un condo, mais comment faire ? Par où commencer ? Quelles sont les étapes à suivre ? Y a-t-il une différence entre une maison unifamiliale et un édifice à condos avec une piscine et terrasse sur le toit ? Avec la pandémie de coronavirus et maintenant la guerre en Ukraine, certains taux d’intérêt peuvent augmenter en raison de l’instabilité, donc il faut s’assurer d’avoir la meilleure offre globale possible pour les années à venir. C’est là que quelqu’un comme Jonathan Dion, représentant hypothécaire Desjardins, intervient.

«Mon rôle est d’accompagner le plus possible le client/membre de manière personnalisée au cours de l’ensemble du processus de financement hypothécaire, de prendre le temps de bien comprendre ses projets, ses buts, qu’est-ce qu’il veut faire. Le côté humain ici est très important. Je prends le temps qu’il faut pour écouter la personne, pour expliquer et m’assurer que le tout soit le plus clair et le plus simple possible […]», de noter le sympathique Jonathan Dion.

Mais attention, ici on parle d’un «représentant hypothécaire» et non d’un «courtier hypothécaire». Un courtier hypothécaire n’est pas lié à une institution et c’est lui qui se chargera de magasiner pour vous un taux hypothécaire ainsi qu’un établissement avec qui faire affaire.

«De mon côté, j’œuvre chez Desjardins, c’est-à-dire qu’il m’est possible d’offrir une offre globale auprès de la clientèle, car il y aura plusieurs éléments à considérer, comme les assurances, le type de produit hypothécaire, etc., donc je peux les orienter, les guider vers l’ensemble des services de Desjardins permettant l’accès à la propriété, poursuit Jonathan Dion. C’est un service personnalisé pour ce client ou cette cliente-là en fonction de leurs besoins spécifiques.»

Car il ne s’agit pas que de se faire expliquer les produits hypothécaires ou choisir le plus faible taux d’intérêt. Ce serait trop simple. Il y a une multitude de variables à tenir en compte. «Est-ce que la personne est célibataire ou est en couple, est-ce qu’elle a des enfants, quelle est sa tolérance au risque ? Il faut connaître la situation actuelle de cette personne et ses projets futurs, etc. […]», dit-il.

 
Acheter une maison, un condo ?
Alors est-ce le bon temps de s’acheter une propriété ? Encore une fois, cela dépend de ce que l’on cherche et de ce que l’on peut débourser.  Si c’est un condo, un studio, un penthouse – pourquoi pas si vous en avez les moyens – des tours ne cessent d’être construites à Montréal. Il n’y a pas de différence réelle entre une maison et un condo : les calculs, les prêts, tout est similaire. «Sauf les frais de condos, les frais de prévoyance, le type de copropriété (divise ou indivise), il faut analyser ces éléments-là qui diffèrent de l’achat d’une maison unifamiliale, par exemple.»

«En ce moment, il n’y a pas un gros inventaire, c’est un marché dans lequel il y a moins de propriétés à vendre. C’est pour cela qu’il y a beaucoup d’acheteurs. Cette propriété, généralement, une fois qu’elle est mise en vente par un courtier immobilier, ne restera pas longtemps sur le marché. Elle pourrait être vendue dans le mois suivant. Mais, encore une fois, tout dépend du quartier, des offres qu’on fait, etc.», explique ce spécialiste de l’hypothécaire.Certains experts économistes prédisent que, si le conflit entre l’Ukraine et la Russie perdure ou s’aggrave, cela pourra influencer le fameux «taux directeur» de la Banque du Canada qui est, comme on le sait bien, le taux de base sur lequel sont calculés tous les produits financiers à taux variables, en plus d’impacter indirectement les taux fixes également. Alors est-ce vrai que les taux hypothécaires pourraient éventuellement être revus à la hausse et que cela pourrait coûter plus cher ? «C’est encore abordable parce que la compétition est très féroce sur le marché, souligne Jonathan Dion. Toutefois, il est certain que des hausses progressives de taux sont à prévoir, comme l’a démontré la Banque du Canada avec la hausse du taux directeur le 2 mars dernier. » Bon, on s’en sauve ! Ouf !

Mais alors, à quoi faut-il s’attendre comme taux ? «L’offre de taux qu’il est possible d’obtenir va dépendre de nombreux facteurs, comme la situation personnelle et financière de l’acheteur, de son projet, du type de propriété et bien plus. […], explique Jonathan Dion. Ainsi, en tant que représentant hypothécaire pour Desjardins, je m’efforce de bien connaître l’emprunteur ainsi que son projet et ses rêves afin de lui présenter une offre personnalisée. C’est ça qu’il faut comprendre, c’est que même s’il y a deux couples sans enfants qui se présentent dans mon bureau, leur situation sera différente et, donc, les éléments à considérer pour le choix du produit hypothécaire ainsi que le taux d’intérêt qui en découlera seront différents également.»

«Ce qu’il faut retenir, c’est l’accompagnement du membre/client. On va regarder avec lui les différents types de produits hypothécaires, dont les taux d’intérêt pour chacun d’entre eux, l’ensemble des services connexes qui sont disponibles chez Desjardins pour s’assurer d’accompagner la personne tout au long du processus d’achat de la propriété. On va prendre le temps qu’il faut pour répondre aux questions afin de s’assurer de la compréhension de chacun des éléments. Je le répète, ici c’est le côté humain qui est important, puisqu’un achat immobilier représente une étape de vie importante pour nos membres/clients », de conclure Jonathan Dion qui œuvre dans le domaine du financement hypothécaire chez Desjardins depuis plus de cinq ans maintenant.

Jonathan Dion, représentant hypothécaire Desjardins
T. 514-863-6686
[email protected]
desjardins.com/jonathan-dion

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